Ces nouveaux robots qui réagissent comme des humains

Ils ressemblent à des humains, marchent dans la neige, empilent des cartons sur des étagères, se relèvent quand on les pousse par terre… La nouvelle génération de robots présentée par Boston Dynamics (groupe Alphabet), fascine à plus d’un titre. « On les bouscule pour voir comment ils gèrent leur centre de gravité », expliquent les chercheurs à « Wired », pour ceux que ces images choquent. Ces robots de 80 kilos embarquent notamment des capteurs stéréo dans leur casque…

Présentation générale de ces robots

Une nouvelle version de l’Atlas, conçu pour fonctionner à l’extérieur et à l’intérieur des bâtiments. Elle est spécialisée pour la manipulation mobile et est alimentée électriquement et actionnée hydrauliquement. Atlas utilise des capteurs dans son corps et les jambes pour s’équilibrer et des capteurs LiDAR et stéréo situés dans sa tête pour éviter les obstacles, évaluer le terrain, s’aide à la navigation et manipuler des objets tels que des cartons à déplacer. Cette version de l’Atlas est d’environ 1m80 de haut (environ une tête de moins que l’Atlas RDC) et pèse environ 80kg.

Le robot Atlas se faisant pousser pour être renversé.

La télédétection par laser ou LiDAR, acronyme de l’expression en langue anglaise « light detection and ranging » ou « laser detection and ranging », est une technique de mesure à distance fondée sur l’analyse des propriétés d’un faisceau de lumière renvoyé vers son émetteur.

À la différence du radar qui emploie des ondes radio ou du sonar qui utilise des ondes sonores, le lidar utilise de la lumière (du spectre visible, infrarouge ou ultraviolet). Celle-ci est quasiment toujours issue d’un laser, et donc cohérente.

La vidéo de l’Atlas, le robot nouvelle génération

Moi personnellement, ce genre de robot me fait flipper, sûrement à cause de souvenirs de films comme Terminator (et bien d’autres) ou une IA prend le dessus sur les humains et l’humanité.

Mais ces robots peuvent s’avérer très pratiques comme par exemple pour la réalisation de tâches en milieux dangereux (radioactivité, zones de guerre, catastrophes naturelles, etc …) ou de tâches pénibles (déplacement de lourdes charges, support logistique, etc …). Tant qu’ils ne sont pas utiliser comme des armes et qu’ils restent contrôlables !